Commerce de détail et communication multi canal

Commerce de détail et communication multi canal

Le bon message à la bonne personne au bon moment … sur le bon canal de communication.

Les dernières avancées techniques permettent aujourd’hui au commerce de détail indépendant de gérer assez simplement sa communication multi canal. Les grandes enseignes le pratiquent tous les jours en envoyant SMS, email, messages vocaux et courriers personnalisés à leurs clients (ayant souvent une carte de fidélité) et donnent l’impression de laisser sur place le commerce traditionnel.
Celui-ci pense, à tort, que cela est « trop compliqué » pour lui ou « trop cher »…
Quelle grave erreur…
Aujourd’hui, il existe différentes solutions, des plateformes de marketing multicanal, qui comblent cette lacune.

A conditions de respecter certaines règles de base (opt’in, jour & horaires d’envoi, pression marketing, adaptabilité aux supports), le commerce de détail peut déployer des campagnes de communication à la fois efficaces et peu onéreuses, et sans avoir besoin de compétences très techniques.

Ces plateformes permettent de réaliser des opérations de promotions des ventes avec les même outils que ceux utiliser par les grandes enseignes et pour un prix très attractifs.
Mais attractif ne veut pas dire gratuit.
Ne croyez pas qu’envoyer des SMS personnalisés en grand nombre est gratuit. Ne croyez pas qu’expédier 2000 email « responsive » soit gratuit.
Mais communiquer efficacement pour moins de 100 euros auprès de 1000 clients par exemple est tout à fait réaliste.
Vous aurez à vous acquitter d’un abonnement (mensuel ou annuel) pour accéder à cette plateforme et pourrez à loisir expédier des messages à vos clients, comme des pros.
Envisager d’envoyer des messages vocaux personnalisés avec votre voix à vos clients « Gold », des courriers personnalisés à vos clients les plus rentables et pour finir des SMS ou des email à un dernier segment, et tout cela depuis la même plateforme, c’est possible désormais. Donc, n’hésitez plus et réveillez le « marketeur » qui est en vous.

Dans quelles semaines, nous aurons l’occasion de vous présenter notre solution qui bénéficie de 20 ans d’expérience auprès du commerce de détail indépendant dans le marketing direct et la gestion de programmes de fidélisation.

le commerce sans limites

le commerce sans limites

Dans son enquête mondiale « Retail Without Limits », Oracle met en évidence bon nombre de spécificités des consommateurs français face aux canaux d’achat et aux nouvelles technos.

En France, l’e-commerce représente à présent 6,7% des ventes de détail. Une part encore limitée, qui s’explique notamment par le rapport des Français à la consommation et aux nouvelles technologies. Pour mieux comprendre les grandes tendances à l’œuvre en matière de comportements d’achat, Oracle a réalisé une enquête dans dix grands pays e-commerce – Allemagne, Australie, Brésil, Chine, Etats-Unis, France, Inde, Japon, Russie et Royaume-Uni – et rassemblé ses conclusions dans son rapport « Retail Without Limits » .

En France, où Oracle a interrogé 500 consommateurs, il ressort que la valeur de l’article est bien plus fondamentale que pour les autres nationalités. En effet, 66% en font leur priorité, contre seulement 38% en moyenne dans les dix pays sondés. Et à l’inverse, le produit en lui-même ne constitue le premier critère d’achat que pour 20% des consommateurs français, contre 31% en moyenne.

L’enquête d’Oracle fait apparaître d’autres variations significatives entre la France et les autres pays, en particulier pour ce qui concerne la fidélisation. Alors que 70% des sondés dans les dix pays de l’étude voient dans le prix le principal facteur de fidélisation, ils ne sont que 52% dans l’Hexagone. A l’inverse, les Français considèrent à 36% le service (en ligne et en magasin) comme un facteur de fidélisation, contre 26% seulement en moyenne. En revanche, ils ne sont que 20% à juger comme un facteur de fidélisation la praticité des livraisons ou les possibilités de retours produits, contre 36% en moyenne.

Magasins et click&collect ont la côte

Oracle montre en outre qu’en France, le magasin demeure la norme, davantage qu’ailleurs. 54% des Français interrogés préfèrent acheter des biens en magasin et les rapporter chez eux, alors que cette proportion tombe à 44% en moyenne dans les pays couverts par l’étude. Et les consommateurs français ne sont que 27% à préférer commander en ligne et se faire livrer ensuite, contre 34% en moyenne. Ils ne sont d’ailleurs que 17% à acheter en ligne au moins une fois par semaine, ce que font 28% des consommateurs des autres pays. Notons tout de même qu’ils achètent moins souvent en magasin aussi : 39% réalisent des achats dans un point de vente physique au moins une fois par semaine, contre 58% en moyenne.

Pourtant, les Français changent leurs habitudes : 49% déclarent avoir utilisé plus de nouvelles technologies que l’an dernier pour faire leurs achats. Mais cela reste moins que dans les autres pays, où cette part s’élève à 59%. C’est en particulier leur ordinateur que les consommateurs français disent utiliser davantage (74%, contre 61% en moyenne), le mobile restant légèrement en retrait (62%, contre 67% en moyenne).

Les Français n’en demeurent pas moins demandeurs de nouvelles technologies, à condition qu’elles apportent des changements réels. Moins convaincus que les autres nationalités (83% en moyenne), ils sont tout de même 64% à estimer important que les distributeurs en adoptent afin d’améliorer leur expérience d’achat. 62% trouvent que l’information sur la disponibilité des produits est primordiale (70% en moyenne), 49% veulent pouvoir suivre leurs commandes et les modifier en ligne (51% en moyenne) et 28% jugent bénéfiques les technologies permettant de proposer des offres personnalisées (31% en moyenne). Mais ils ne sont que 18% à souhaiter une expérience d’achat plus intégrée, contre 42% des consommateurs des dix pays de l’étude. En revanche, grands adeptes du click&collect, ils sont 58% à penser que ces dispositifs amélioreraient leur expérience d’achat. Bien plus, donc, que les consommateurs des autres pays (38%).

 

Source : Oracle

attente des français et commerce de détail
Les réseaux sociaux et nos usages

Les réseaux sociaux et nos usages

+4 millions d’internautes sur les réseaux sociaux en 2 ans

C’est le dernier chiffre que nous propose Médiametrie en cette fin d’année digitale.

Les réseaux sociaux se sont multipliés et progressivement généralisés à toutes les catégories d’internautes. Au cours du dernier mois, 32 millions d’internautes se sont connectés au moins une fois à un réseau social, soit 72,6% de la population internaute. Ces plateformes, qui permettent de rester en contact avec les amis, ont fini par se développer autour de nombreuses fonctionnalités. Elles apportent de la valeur aux utilisateurs (partage d’informations, de vidéos, création de pages thématiques…), et captent un public toujours plus large. A ce jeu, en termes de nombre d’inscrits, c’est Facebook qui décroche la 1ère place du podium, mais bien d’autres réseaux, parfois sur des marchés de niche, ont trouvé leur place et transformé les pratiques des internautes.

Toujours plus nombreux sur les réseaux sociaux …

En deux ans, on compte 4 millions d’individus supplémentaires sur les réseaux sociaux en France. Cet accroissement de près de 15 % touche toutes les générations.
En premier lieu, les jeunes avec 86,4% des 15-24 ans qui ont visité au moins un réseau social au cours du dernier mois.
Les 24-35 ans suivent avec 85,7% d’utilisateurs dernier mois.
Les 35 ans et plus sont également toujours plus nombreux sur les réseaux sociaux : 73,1% des 35-49 ans se sont connectés au cours du dernier mois soit plus de 3 points supplémentaires en 1 an. La progression est encore plus marquée chez les 50 ans et plus qui gagnent 5 points en 1 an (soit 61,2%).

  … et un clivage générationnel dans le choix des réseaux et des écrans

Des différences notables apparaissent selon la tranche d’âge, à la fois en termes de réseaux visités et de devices utilisés.
Les jeunes (15-24 ans) privilégient le mobile pour se connecter aux réseaux sociaux, au détriment de l’ordinateur. Comme pour l’ensemble des internautes, Facebook reste le réseau qu’ils fréquentent le plus ; on note aussi une percée de Snapchat chez les jeunes, 1/3 d’entre eux l’ayant déjà adopté.
Les jeunes actifs (25-34ans) ont une utilisation plus professionnelle des réseaux sociaux : ce sont eux qui utilisent le plus Twitter, Linkedin et Viadéo.
Les 35 ans et plus préfèrent l’ordinateur (66% d’utilisateurs) au mobile (56%) pour se connecter. Ils se démarquent également par leur taux de présence important sur des sites comme Copains d’Avant. Enfin, pour les seniors (50 ans et plus), on remarque que la pratique de Facebook est devenue majoritaire : plus d’un sur 2 l’a utilisé lors du dernier mois.

 

Source : Médiametrie

Impact mondial de la révolution du Big data

Impact mondial de la révolution du Big data

Quel est l’impact mondial de la révolution du Big data ?

BSA | The Software Alliance présente une photographie des usages du Big Data en vigueur dans plusieurs secteurs (industrie, transports, énergie, agriculture, éducation, santé…) à travers un livre blanc complet qui, outre les innovations constatées ou à venir, n’omet pas d’aborder les questions relatives aux conditions de collecte et d’utilisation des données au regard du respect de la vie privée.

BSA | The Software Alliance publie ce jour un nouveau rapport qui s’intéresse aux logiciels, aux nouvelles pratiques de traitement des données et aux applications concrètes de ces évolutions pour la société. Ce rapport mondial de la BSA, intitulé « What’s the Big Deal with Data? » (www.bsa.org/data) propose des exemples concrets des usages et bénéfices de l’analyse des données et des améliorations envisageables pour la vie quotidienne, en termes de confort, de meilleure organisation des villes, de prévisions des crises climatiques et d’innovations médicales.

Le document aide aussi à mieux comprendre le rôle des données en tant qu’outil de transformation et il fait le point des avancées dans le domaine de l’analytique qui peuvent déboucher sur des solutions inattendues aux problèmes posés. En s’intéressant aux conditions de la collecte et de l’utilisation des données, ce document apporte aussi des réponses aux craintes relatives aux libertés individuelles et au respect de la vie privée.

« Les nouveaux usages que l’on fait des données sont à l’origine de changements et de progrès extraordinaires partout dans le monde, en faveur de l’action individuelle et collective mais aussi de la capacité des entreprises à mieux utiliser les ressources », déclare Victoria Espinel, CEO de la BSA.

« A mesure que se développe cette économie de la data, de nouveaux logiciels vont nous aider à mieux comprendre et transformer ces données en solutions opérationnelles concrètes. »

Le rapport souligne les effets de la nouvelle économie de la data dans de nombreux secteurs, dont ceux de la conception industrielle, des transports, de l’énergie, de l’agriculture, de l’éducation et de la santé. Victoria Espinel ajoute que les prévisions de 15 mille milliards de dollars qui viendraient s’ajouter au PIB mondial d’ici à 2030 représentent un formidable bond en avant pour l’économie mondiale.

On n’a jamais produit autant de données : plus de 90% des données mondiales ont été créées ces deux dernières années, et le volume de production va doubler tous les deux ans.

« L’enjeu à présent est de trouver les moyens de valoriser ces données et de bien les utiliser », poursuit Victoria Espinel. « Nous devons optimiser les conditions de collecte des données, la manière dont nous les stockons, les analysons et les traduisons pour en extraire les résultats les plus pertinents possibles. Il faut que les décideurs du monde entier mesurent l’importance d’instaurer des règles pour encadrer ces pratiques. »

Victoria Espinel souligne l’opportunité qui se présente aux législateurs et autorités de réglementation d’établir des règles claires en faveur de la libre circulation des données indépendamment des frontières et de former et recruter des professionnels de l’IT pour ouvrir de nouveaux marchés et aider les entreprises à innover.

Voici plusieurs exemples tirés du rapport « What’s the Big Deal with Data? » qui montrent comment les réponses obtenues grâce aux logiciels et à l’analyse des données ont pu se muer en améliorations concrètes des conditions de vie :

  • Anticipation des crises météorologiques : en combinant les capteurs d’observation marine, des vagues, des courants et d’autres données avec les outils analytiques, des chercheurs peuvent établir des prévisions plus précoces et affinées des tsunamis et d’autres catastrophes naturelles, et donc sauver la vie de milliers de personnes qui vivent dans des régions côtières.
  • Plus de prématurés sauvés : en étant capables de surveiller plus de 1 000 points de données par seconde, des chercheurs ont fait une découverte surprenante, à savoir que les enfants nés prématurément qui présentent des signes vitaux inhabituellement stables font de fortes fièvres le jour suivant. Ainsi informés, les médecins peuvent désormais prendre des mesures préventives et sauver des vies.
  • Réduction des temps de trajet : à Stockholm, 1 600 GPS ont été installés dans des taxis pour collecter des données sur les conditions de circulation, lesquelles ont ensuite été traitées par un logiciel analytique afin de renseigner la municipalité sur les opportunités de fluidifier le trafic routier. Résultat ? Le trafic a pu être réduit de 20%, les temps de trajet sont réduits de moitié et les émissions de gaz d’échappement sont en baisse de 10%.
  • Meilleurs rendements agricoles : des exploitants agricoles dans l’Iowa et en Inde analysent les données des semences, et utilisent des satellites ainsi que des capteurs pour prendre de meilleures décisions vis-à-vis du choix des cultures, du calendrier, de la préservation de la fraîcheur des aliments du producteur au consommateur, et de l’adaptation au changement climatique.
  • La conception de bâtiments écoénergétiques : aux Emirats arabes unis, de nouveaux outils d’analyse des données servent à construire le premier immeuble au monde à énergie positive, qui produit plus d’énergie qu’il n’en consomme. Si le projet donne satisfaction, ce même modèle pourrait être repris partout dans le monde et changer radicalement notre empreinte carbone globale.
  • Amélioration de la maintenance et de la sécurité aérienne : l’analyse de données sert à améliorer les performances de vol et la sécurité aérienne, à limiter les turbulences et à identifier les défaillances des moteurs 2 000 fois plus vite que jamais auparavant. Les données aéronautiques contribuent également à affiner les plans de vol et informent le personnel qu’une pièce doit être remplacée bien avant qu’elle ne s’avère défectueuse.
  • Des villes intelligentes : Barcelone aspire à devenir une ville plus intelligente grâce à l’analyse des données que ce soit pour fluidifier la circulation, savoir où installer des stations de location de vélo en libre-service ou encore déterminer quels quartiers auraient besoin de plus de distributeurs de billets.

« Rien que la diversité des problématiques que les données permettent de résoudre donne une indication de l’ampleur de la révolution de la data sur l’économie mondiale », fait constater Victoria Espinel. « Certes, ces nouvelles pratiques demandent à être encadrées pour éviter les dérives et protéger la vie privée des citoyens, mais les perspectives de l’accès illimité à l’information sont infinies, dans les écoles, dans les hôpitaux, sur les autoroutes, dans le domaine de la robotique. C’est en optimisant l’efficacité de collecte de ces précieuses données, leur stockage, leur analyse et leur transformation, que l’on aidera les gens à imaginer de nouvelles améliorations de la qualité de vie qui viendront à leur tour stimuler l’économie. »

 

Pour en savoir plus et visionner une vidéo de synthèse du rapport What’s the Big Deal with Data ?

Source :BSA | The Software Alliance (www.bsa.org) est le principal organisme de défense et de promotion de l'industrie du logiciel auprès des administrations gouvernementales et sur le marché international. Ses membres comptent parmi les sociétés les plus innovantes au monde, à l'origine de solutions logicielles qui stimulent l'économie et améliorent la vie moderne. Forte de son siège à Washington, DC et d'opérations dans plus de 60 pays à travers le monde, la BSA propose de nouveaux programmes de conformité prônant l'usage légal des logiciels ; elle promeut les politiques publiques à même de favoriser l'innovation technologique et de stimuler l'essor de l'économie numérique.
Consommation : Belle rentrée pour le commerce spécialisé

Consommation : Belle rentrée pour le commerce spécialisé

Les bonne nouvelles de la consommation?

L’activité du commerce de détail spécialisé s’est ressaisie au mois de septembre, en finissant le mois à + 8,2 % par rapport à septembre 2014, à périmètre comparable, selon l’enquête de panel mensuel de Procos (50 enseignesinterrogées sur leurs performances dans 50 pôles de référence, situés dans 15 agglomérations).

Toutefois, cette évolution doit être relativisée car elle se réfère à un historique très défavorable. Le mois de septembre 2014 avait fini à -7,5%.

Les décalages calendaires n’ont pas joué : le mois de septembre 2015 comptait autant de jours ouvrables (26) que le mois de septembre 2014, avec le même nombre de samedis (4). Les conditions climatiques, plus fraîches qu’il y a un an, ont pu encourager le lancement des collections d’automne dans l’équipement de la personne. Mais dansl’ensemble, l’évolution de l’activité ne fait que se normaliser.

Le commerce de périphérie est le premier à bénéficier de cet effet de rattrapage, les moyennes surfaces finissant le mois à + 8,9 %, les boutiques de galeries marchandes à + 8,8 %. Le centre-ville suit, les boutiques sur rue finissant le mois à +7,2%, celles de galeries marchandes à +6,4%.

Tous les secteurs d’activités enregistrent une progression de leur activité, à l’exception de la restauration. La chaussure enregistre des hausses à deux chiffres, devant l’équipement de la personne et l’équipement de la maison (entre +5% et +10%) et les autres secteurs (entre +2% et +5%).

Sur une plus longue période, l’activité du commerce spécialisé s’établit à +0,1%, en cumul à 9 mois.